PRIX POPAI 2021- Catégorie Littérature pour Les vertiges de l’Orée de Leslie Gobille

Publié le par ecrivainducaillou.over-blog.com

Leslie Gobille au Médipôle pour un café littéraire, photo JP

Leslie Gobille au Médipôle pour un café littéraire, photo JP

PRIX POPAI 2021- Catégorie Littérature pour Les vertiges de l’Orée de Leslie Gobille

C’est l’ouvrage « Les vertiges de l’Orée » qui a été désigné vainqueur du prix Popaï 2021 dans la catégorie Littérature.

𝗤𝘂'𝗶𝗹𝘀 𝗱𝗼𝗿𝗺𝗲𝗻𝘁 𝗱𝗲𝗿𝗿𝗶𝗲̀𝗿𝗲 𝗹𝗲𝘀 𝗴𝗿𝗶𝗹𝗹𝗲𝘀 𝗼𝘂 𝗮𝘂 𝗱𝗲𝗵𝗼𝗿𝘀, 𝗹𝗮 𝗳𝗿𝗼𝗻𝘁𝗶𝗲̀𝗿𝗲 𝗾𝘂𝗶 𝗹𝗲𝘀 𝘀𝗲́𝗽𝗮𝗿𝗲 𝗮𝗽𝗽𝗮𝗿𝗮𝗶̂𝘁 𝗳𝗶𝗻𝗮𝗹𝗲𝗺𝗲𝗻𝘁 𝘁𝗲́𝗻𝘂𝗲. 𝗡𝗼𝘂𝗿𝗿𝗶𝘀 𝗱𝗲 𝗱𝗲́𝘁𝗿𝗲𝘀𝘀𝗲𝘀 𝗶𝗻𝗱𝗶𝗰𝗶𝗯𝗹𝗲𝘀, 𝗹𝗲𝘀 𝗱𝗿𝗮𝗺𝗲𝘀 𝗰𝗼𝘂𝘃𝗲𝗻𝘁.

𝗖𝗲 𝗿𝗼𝗺𝗮𝗻 𝘀𝗲𝗻𝘀𝗶𝗯𝗹𝗲 𝗲𝘁 𝗽𝗼𝗶𝗴𝗻𝗮𝗻𝘁 𝗲𝘀𝘁 𝗹𝗶𝗯𝗿𝗲𝗺𝗲𝗻𝘁 𝗶𝗻𝘀𝗽𝗶𝗿𝗲́ 𝗱𝗲 𝗹’𝗲𝘅𝗽𝗲́𝗿𝗶𝗲𝗻𝗰𝗲 𝗰𝗮𝗽𝘁𝗶𝘃𝗮𝗻𝘁𝗲, 𝗲𝘅𝘁𝗿ê𝗺𝗲, 𝗯𝗼𝘂𝗹𝗲𝘃𝗲𝗿𝘀𝗮𝗻𝘁𝗲, 𝗾𝘂’𝗮 𝗿𝗲𝗽𝗿𝗲́𝘀𝗲nt𝗲́𝗲 𝗹’𝗶𝗺𝗺𝗲𝗿𝘀𝗶𝗼𝗻 𝗱𝗲 𝗹’𝗮𝘂𝘁𝗲𝘂𝗿𝗲 𝗽𝗲𝗻𝗱𝗮𝗻𝘁 𝗱𝗶𝘅 𝗮𝗻𝗻𝗲́𝗲𝘀 𝗱𝗮𝗻𝘀 𝘂𝗻 𝗾𝘂𝗼𝘁𝗶𝗱𝗶𝗲𝗻 𝗰𝗮𝗿𝗰𝗲́𝗿𝗮𝗹.

Auteure : Leslie Gobille

Editeur : Madrépores

Ce roman est librement inspiré de l’expérience captivante, extrême, bouleversante, qu’a représentée l’immersion de l’auteure pendant dix années dans un quotidien carcéral.

« Les Vertiges de l’orée » est le premier roman de Leslie Gobille, une nouvelle plume prometteuse, lauréate de la résidence d’’écriture de la Province Sud en 2019 pour ce projet.

Leslie Gobille voit le jour en Sarthe en 1980. L'univers rural et solitaire qui lui sert de berceau l’amène à nouer tout au long de son enfance, des amitiés intenses avec les animaux, les nuages et la littérature. Dès l'année de CP elle commence à écrire « des livres » ̶qu’elle tient à illustrer « malgré son absence évidente de dispositions pour cet art » ̶ et déclare qu’elle deviendra « écrivaine ». Elle est donc, à cet âge précoce, et à son insu, déjà féministe.

Après l’obtention d’un bac littéraire, elle décide de faire la part belle à sa seconde passion, celle de l'humain et de son roman intérieur, et engage des études de psychologie à l’université d’Angers. C’est avec son diplôme de psychologue clinicienne en poche, qui sera complété par la suite d’une spécialisation en criminologie, qu’elle s’installe en 2006 en Nouvelle-Calédonie.

Elle y exerce son métier avec passion, essentiellement dans le secteur pénitentiaire. Après treize ans de cette pratique exigeante qui ne lui laisse plus beaucoup de temps pour parler aux nuages, la voilà qui rêve d’une halte dans sa vie tourbillonnante pour s’adonner de nouveau à l’écriture. Elle candidate alors à la résidence proposée annuellement par la province Sud et la Maison du Livre de la Nouvelle-Calédonie comme dispositif d’aide à la création littéraire. Elle en est la lauréate 2019.

« Les vertiges de l’orée » est le fruit d’un été consacré à l’écriture, dans le cadre inspirant du Château Hagen.

Pour être informé des derniers articles, inscrivez vous :
Commenter cet article