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Recette de la galette des rois dans Cuisine faim valab’ en Nouvelle-Calédonie le troisième livre dans la série, toujours avec la cuisine locale illustrée avec des images de la Nouvelle-Calédonie et d’ailleurs. Un livre plein de saveurs bien mijoté, un cadeau «fin valab» !
Aussi Cuisine faim* bonne en Nouvelle-Calédonie de Mike Hosken et Cuisine faim* facile en Nouvelle-Calédonie toujours chez Footprint-pacifique ainsi que Easy Cuisine New Caledonia
Recette de la galette des rois / Cuisine Faim Valab’
INGREDIENTS POUR 8 PERSONNES :
– 2 pâtes feuilletées pur beurre
– 100gr de beurre
– 125 gr de poudre d’amande
– 100gr de sucre
– 3 oeufs (dont 1 pour la dorure)
– 1 poignée d’amandes effilées
– 1 fève
RECETTE :
Dans un saladier, mélanger le beurre mou, le sucre et la poudre d’amande. Ajouter les 2 oeufs un à un et les amandes effilées.
Dérouler la pâte sur une plaque avec du papier sulfurisé. A l’aide d’un pinceau, humidifier les bords de la pâte sans déborder sur l’extérieur.
Répartir la crème d’amande au centre de la pâte. Ajouter la fève. Déposer délicatement la seconde pâte feuillettée.
Appuyer avec les doigts sur l’extrémité, puis replier vers l’intérieur.
Battre l’oeuf et badigeonner la tarte avec la pointe du couteau afin de dessiner les diagonales.
Mettre au four pendant 10 mins à 240°C puis 20 mins à 180°C
Cinéma des Océanistes n° 3, Société des Océanistes, 2017
Documentaire
Le retour d’Ataï (71 min.) retrace l’histoire emblématique du grand chef Ataï, un des principaux instigateurs de l’insurrection kanak de 1878, ainsi que la restitution de son crâne en Nouvelle-Calédonie 136 ans après sa disparition.
Des tableaux et des indices économiques pour commencer l'année et la possibilité d'en savoir plus en suivant ce lienCEROM
Nickel : la Nouvelle-Calédonie dans le marché mondial
La Nouvelle-Calédonie est le 6ème producteur mondial de nickel. Il y eut même une époque où l’opérateur historique du Territoire, la SLN, disposait de 4 usines en Europe. Depuis 1880, le nickel calédonien remplit les pages de l’histoire industrielle mondiale. Suivre ce lien pour lire unexcellent article de Alain Jeanninsur outremer 1er
Prix : papier : 9,9 € EBook : 2,99 €Français sur divers sites de vente en ligne ou chez l’éditeur Humanis et en librairie à Nouméa
Trois nouvelles évoquant le peuple kanak de Nouvelle-Calédonie. Trois nouvelles écrites en quatre langues, comme autant de passerelles posées sur l'océan.
Drehu (Nouvelle-Calédonie – New Caledonia) :
Köni tekes nyine anyipicine la melene la kanak atrene la nöje Kaledoni. Köni tekes hna ujën kowe la eketre lao qene hlapa, kösë ija engenemel feja hna jum kowe la hneopegejë.
English:
Three stories evoking the Kanak people of New Caledonia. Three short stories written in four languages, like so many footbridges on the ocean.
Hula (Papouasie Nouvelle-Guinée – Papua New Guinea):
Kanaka aunilimalimara New Caledoniai geria rikwana kokoikoi. Erikwana koikoi vanuga koikoi e kopunai geva vanagiaole no lakavanagi nanu kukunai rawaparai.
Léopold à Nouméa 2017 Photo Joël PAUL
Introduction par l’auteur :
Quand j’ai su que j’allais faire partie de la délégation représentant la Nouvelle-Calédonie au festival des arts de Papouasie-Nouvelle-Guinée en juillet 2014, je me suis tout de suite demandé de ce que j’allais présenter là-bas. J’ai choisi trois de mes nouvelles qui étaient déjà connues du public. Manger du rat, et Hélène sont deux récits autobiographiques. Pour la première fois chez Gaijoli est une nouvelle liée à la condition de la femme kanak, thème que je développe beaucoup dans mes écrits. Manger du rat et Pour la première fois chez Gaijoli ont été publiés dans Olé, Oléti en 2010. Hélène, la nouvelle qui m’a révélé au public, est sortie dans Épisode, un magazine littéraire, en 2008. Ces nouvelles ont également été reprises par la suite dans mes recueils De séduction en séduction et Les fleurs de potr, parus aux éditions Humanis.
Pour présenter quelque chose d’exceptionnel au festival, j’avais décidé de traduire mes trois nouvelles en deux langues : en anglais, et en hula (une langue de Papouasie-NouvelleGuinée). Il se trouve que l’épouse du directeur de l’établissement où je travaille vient des bords du fleuve Sépik. Il se trouve aussi que Madame Vali QAEZE (un nom évocateur puisque Valikara peut se traduire par « la nouvelle qui court »), est une dame charmante et généreuse, qui a eu la gentillesse d’accepter ma demande de traduction. Je la remercie chaleureusement pour cela.
Pour le présent recueil, j’ai également tenu à faire figurer une version en drehu, ma langue maternelle, parlée sur l’île de Lifou. Il n’a pas été si facile pour moi de transposer ces textes — que j’avais initialement écrits en français — dans ma langue d’origine. Je les avais « pensés » en français, et il m’a fallu faire une gymnastique mentale pour les faire revenir à l’endroit d’où ils venaient. Pour ce travail délicat, j’ai eu la chance de bénéficier de l’aide de Monsieur Nginie PASA que je remercie également de tout cœur pour sa contribution.
L’océan Pacifique est immense. Je ne sais pas si les passerelles que construit ce recueil seront suffisantes pour le traverser dans tous les sens. Mais, pourvu qu’il provoque ou facilite des échanges et des rencontres, il aura accompli sa mission.
Je vous souhaite une lecture agréable.
Léopold Hnacipan.
NB : Léopold sera l'un des auteurs calédoniens qui représenteront le Pacifique à Livre Paris. JP